À l’origine de la première interpellation sur les débordements des chaînes dites « familiales » sur YouTube, l’Observatoire de la parentalité et de l’éducation numérique a accueilli avec satisfaction la loi…

…adoptée mardi concernant l’exploitation des images d’enfants sur les plateformes en ligne. Son fondateur Thomas Rohmer explique pourquoi il reste cependant du travail.

– Comment accueillez-vous la proposition de loi du député Bruno Studer adoptée mardi ?

« Avec enthousiasme. Le législateur s’est emparé avec pragmatisme et rapidité de la question des enfants « influenceurs », non pas dans la volonté d’interdire mais de protéger les personnes vulnérables. »